Les étudiants de DCG ont participé à une journée d'échanges, au programme : intervention du Conseil Régional de l’Ordre des Experts-Comptables, présentation du parcours de Loïc Barbet, ancien étudiant IHECF aujourd’hui Directeur Administratif et Financier chez Pokawa, puis la Marine Nationale pour présenter les métiers du chiffre au service de l’État.
Quel était l'objectif de cette journée Masterclass pour les DCG ?
À IHECF, l’objectif n’était pas d’empiler des discours, mais de créer des déclics. Ton DCG prend du relief quand des professionnels décrivent leurs contraintes, leurs attentes, leurs méthodes, et te donnent des conseils directement applicables.
Cette journée a relié notions et gestes concrets. On a parlé reporting, budgets, clôtures, contrôle interne, mais aussi posture, écoute et clarté. Le DCG devient un socle d’actions, pas seulement une liste de chapitres à valider.
Que retenir de l’intervention du Conseil Régional de l’Ordre des Experts-Comptables ?
Les représentants ont rappelé l’exigence du métier : proximité avec les dirigeants, qualité des livrables, respect des délais. Ton DCG s’inscrit dans cette dynamique francilienne où les besoins augmentent, à la croisée de la comptabilité, de la fiscalité et du conseil.
La profession se transforme : digitalisation, facturation électronique, automatisations. Les attendus rejoignent tes modules : droit, systèmes d’information, premières bases d’audit. Le DCG ouvre des passerelles claires vers le DSCG puis la préparation au DEC.
En quoi le témoignage de Loïc Barbet, DAF chez Pokawa, éclaire ton parcours ?
Son message est direct : la technique compte, mais la valeur se voit quand tu sais expliquer, décider, embarquer. Après son DCG, il a grandi en responsabilités grâce à une communication claire, une culture data solide et des livrables simples.
Il recommande un trio gagnant : tableau de bord lisible, analyse d’écarts concise, plan d’actions réaliste. Ces réflexes, travaillés en DCG, sont clés pour viser à terme le Bachelor Contrôle de Gestion ou des fonctions plus financières.
Pourquoi la Marine Nationale est-elle venue parler des métiers du chiffre ?
Pour élargir ton horizon : au-delà des cabinets et des groupes privés, l’État offre des carrières techniques, structurantes, utiles. Les postes couvrent budget, contrôle interne, analyse et gestion des risques, avec des responsabilités réelles dès les premières années.
Là encore, le DCG aligne les fondamentaux : base solide en comptabilité, en fiscalité, en droit, en systèmes d’information. Tu vois comment tes cours se traduisent en missions à fort impact collectif.
Et la suite de tes études, comment l’envisager ?
Plusieurs itinéraires s’ouvrent. Si tu aimes le pilotage, regarde le Bachelor Contrôle de Gestion. Si tu veux poursuivre vers l’expertise, enchaîne avec le DSCG puis la préparation au DEC. Ton DCG reste le socle lisible par tous.
Si tu viens d’une autre filière, tu peux sécuriser tes bases via le Bachelor Tremplin, puis t’orienter. Quoi qu’il arrive, le DCG donne une structure, un langage commun avec les équipes, et des repères durables pour avancer.